Après Chandramukhi et Annamalai, je m'étais résigné à ne pas voir l'intérêt des films de Rajnikanth. Thalapaty était bien, mais ça ne compte pas, je n'ai encore jamais vu de film de Mani Ratnam authentiquement mauvais. 16 Vayathinile m'a plu, mais pas-encore-Superstar Rajni n'y apparaît que 20 minutes à tout casser.
Et pourtant ...
Avant tout je vous invite à lire cette critique qui m'a fait découvrir Muthu, je ne pourrais pas dire mieux que son auteur.
(bonne critique de kuch kuch hota hai également sur le même site)
Cet article rend bien compte du principe qui semble avoir présidé à la composition de Muthu : une accumulation jouissive d'ingrédients divers vaguement reliés par un scénario à l'incohérence presque onirique (cf. le voyage dans l'Andra Pradesh). Il pourrait cependant laisser entendre que le film entre dans la catégorie des nanars, ce qu'il ne faudrait surtout pas croire.
Cela faisait longtemps qu'un film indien ne m'avait pas laissé un tel sourire sur les lèvres : il y a une telle fantaisie, une telle générosité, des décors magnifiques, une actrice charmante (Meena) dont le visage rond et le regard malicieux m'ont fait penser à Juhi Chawla, des combats pour rires, des quiproquos dignes du Mariage de Figaro, une course en char digne de Ben-Hur, sauf que ces chars-ci sont bien plus mignons avec leurs couleurs pastel, des danses et une musique imaginatives, et une Superstar qui y va à fond et commence à me faire comprendre les raisons de sa popularité.
Oruvan Oruvan (mettez le son à fond)
Kuluvalile
Thillana Thillana
en bref chaudement recommandé.
Après ce court séjour dans le cinéma tamoul je retourne à Bollywood pour la prochaine critique.
(bonne critique de kuch kuch hota hai également sur le même site)
Cet article rend bien compte du principe qui semble avoir présidé à la composition de Muthu : une accumulation jouissive d'ingrédients divers vaguement reliés par un scénario à l'incohérence presque onirique (cf. le voyage dans l'Andra Pradesh). Il pourrait cependant laisser entendre que le film entre dans la catégorie des nanars, ce qu'il ne faudrait surtout pas croire.
Cela faisait longtemps qu'un film indien ne m'avait pas laissé un tel sourire sur les lèvres : il y a une telle fantaisie, une telle générosité, des décors magnifiques, une actrice charmante (Meena) dont le visage rond et le regard malicieux m'ont fait penser à Juhi Chawla, des combats pour rires, des quiproquos dignes du Mariage de Figaro, une course en char digne de Ben-Hur, sauf que ces chars-ci sont bien plus mignons avec leurs couleurs pastel, des danses et une musique imaginatives, et une Superstar qui y va à fond et commence à me faire comprendre les raisons de sa popularité.
Oruvan Oruvan (mettez le son à fond)
Kuluvalile
Thillana Thillana
en bref chaudement recommandé.
Après ce court séjour dans le cinéma tamoul je retourne à Bollywood pour la prochaine critique.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire