2006 - Pournami, de Prabhu Deva, avec Charmee et Trisha, est certainement le film de Prabhas qui a le scénario le plus original. L'action se passe dans les années 1970. Tous les douze ans, une danse sacrée doit être réalisée par une fille de la famille de Charmee. Mais sa soeur aînée (Trisha) formée pour accomplir cette danse, s'est enfuie, menacée par un des meilleurs méchants de tous les temps, Rahul Dev, dans le rôle du zamindar cruel mais mélomane (ce qui nous vaut une scène d'anthologie). Arrive Prabhas, prof de rock, qui va convaincre Charmee de perpétuer la tradition. En effet, il a rencontré Trisha lors de sa fuite...
Il faut admettre qu'il y a d'énormes trous dans ce beau scénario, mais qu'importe ? On a deux héroïnes vraiment bien (si si, même Trisha), deux vraies histoires d'amour, qui ne sont pas juste là pour agrémenter un film d'action, un Prabhas vraiment très bon, et pas que pour faire le clown ou se battre , quelques scènes marquantes (le sang séché sur la chemise du mort, qui marque la fin de la trève en changeant de couleur) Et surtout, de très très beaux clips (en même temps avec Prabhu Deva à la réalisation, ce n'est pas vraiment une surprise), qui font la part belle à l'émotion.
Le mariage, ou comment contourner la censure par une chanson et un clip qui arrivent, miracle, à ne pas être du tout vulgaires.
Il faut admettre qu'il y a d'énormes trous dans ce beau scénario, mais qu'importe ? On a deux héroïnes vraiment bien (si si, même Trisha), deux vraies histoires d'amour, qui ne sont pas juste là pour agrémenter un film d'action, un Prabhas vraiment très bon, et pas que pour faire le clown ou se battre , quelques scènes marquantes (le sang séché sur la chemise du mort, qui marque la fin de la trève en changeant de couleur) Et surtout, de très très beaux clips (en même temps avec Prabhu Deva à la réalisation, ce n'est pas vraiment une surprise), qui font la part belle à l'émotion.
Le mariage, ou comment contourner la censure par une chanson et un clip qui arrivent, miracle, à ne pas être du tout vulgaires.
et Pournami nous apporte la preuve n° 5 que Prabhas est un gars parfait : il est à la fois Shiva et Krishna :
Chatrapathi a très bien marché, et il était tentant de continuer sur la lancée et d'exploiter un filon similaire.
C'est ce que tente de faire en 2007 Vamsi Paidipally avec Munna dans lequel Prabhas a, aux côtés d'Ileana D'Cruz , un rôle de justicier assez proche de celui de Chatrapathi. Problème, Vamsi Paidipally n'est pas Rajamouli, Ileana ne vaut pas Shriya (qui apparaît dans un des clips !), et le scénario bat des records d'invraisemblance. Même Prakash Raj, dans un rôle bien rodé de père indigne, n'a pas l'air en forme. Enfin, quelqu'un a eu l'étrange idée de coiffer Prabhas comme Mahesh Babu. Un look qui va bien au Prince, un peu moins à notre young rebel star. Restent, comme d'hab', quelques clips vraiment bien.
C'est ce que tente de faire en 2007 Vamsi Paidipally avec Munna dans lequel Prabhas a, aux côtés d'Ileana D'Cruz , un rôle de justicier assez proche de celui de Chatrapathi. Problème, Vamsi Paidipally n'est pas Rajamouli, Ileana ne vaut pas Shriya (qui apparaît dans un des clips !), et le scénario bat des records d'invraisemblance. Même Prakash Raj, dans un rôle bien rodé de père indigne, n'a pas l'air en forme. Enfin, quelqu'un a eu l'étrange idée de coiffer Prabhas comme Mahesh Babu. Un look qui va bien au Prince, un peu moins à notre young rebel star. Restent, comme d'hab', quelques clips vraiment bien.
Mais Munna est un chef-d'oeuvre à côté de l'autre film dans lequel Prabhas a joué en 2007 : Yogi. Il y joue un brave gars qui déteste la violence mais dézingue à tour de bras du début à la fin du film, pendant que sa maman le cherche dans toute la ville, au côté de Nayanthara, dans un rôle strictement décoratif. Dès qu'il pense à elle (à sa mère, pas à Nayanthara, qui ne sert vraiment à rien), notre grand dadais se met à danser en clignant des yeux.
Les chansons se distinguent surtout par leurs paroles très explicites.Preuve n° 6 que Prabhas est un gars parfait : il marche mieux que le botox.
Deux échec publics et critiques, et un changement (relatif) de registre : dans Bujjigadu (2008), Prabhas est une fois de plus un rowdy, qui cherche à retrouver son amour d'enfance Chitti (Trisha, exaspérante), le scénario est toujours aussi peu vraisemblable, mais les dialogues laissent une large place à l'humour, et cela (plus un Prabhas plus athlétique que jamais) sauve largement le film.
Preuve n° 7 que Prabhas est un gars parfait : euh... non, en fait, rien.
et preuve n° 8 que Prabhas est un gars parfait :
enfin, en 2009, un rôle en forme de consécration : Billa, dans lequel il succède à Amitabh Bachchan, Shahrukh Khan (Don), Rajinikanth et Ajith. Rien que ça.
Et voici donc notre héros qui se dédouble, pour incarner le gentil voleur Ranga et le vilain gangster Billa. Rapidement, Billa disparaît, et Ranga le remplace pour permettre à la police de démanteler son gang. Pour être honnête, Prabhas en Billa, ça ne marche pas très bien. Par contre en Ranga il est assez excellent. Anoushka, à ses côtés, est également bien.
Le film fonctionne plutôt pas mal, malgré une histoire connue et des clips passe-partout.
Et voici donc notre héros qui se dédouble, pour incarner le gentil voleur Ranga et le vilain gangster Billa. Rapidement, Billa disparaît, et Ranga le remplace pour permettre à la police de démanteler son gang. Pour être honnête, Prabhas en Billa, ça ne marche pas très bien. Par contre en Ranga il est assez excellent. Anoushka, à ses côtés, est également bien.
Le film fonctionne plutôt pas mal, malgré une histoire connue et des clips passe-partout.
et pour finir, la chanson éponyme de Ek Niranjan, sortie prévue le 29 octobre
2 commentaires:
J'aime bien la preuve numéro 7 barrée, hehehehe…
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