A l'occasion de la sortie prochaine de Ek Niranjan, retour sur la carrière de la Young Rebel Star du cinéma télougou.
Profitons également de l'occasion pour rendre hommage au bien nommé Prabhasmyhero dont les différents comptes sont incontournables pour les fans de l'acteur.
Tout a commencé avec Eeshwar, en 2002, réalisé par Jayant C. Paranjee, avec Sridevi.
Le jeune acteur, incarnant Eeshwar, n'était pourtant pas un inconnu : il est en effet le neveu d'un acteur bien connu, devenu homme politique, Krishnam Raju Uppalapati.
Eeshwar, un garçon pauvre et orphelin de mère, a le coup de foudre pour une jeune fille riche, Indu, fille d'un homme politique qui n'aime pas les pauvres. Pendant qu'il tente de l'approcher son père se remarie. Toute la première moitié est consacrée aux tentatives d'approches d'Eeshwar, la deuxième aux inévitables heurts avec le père vraiment pas sympathique d'Indu. C'est en tout cas ce que j'ai pu comprendre en l'absence de sous-titres.
Le gros défaut du film : une héroïne incarnée par une actrice pas terrible (une Sridevi qui n'a rien à voir avec La Sridevi), et parfaitement cruche. Les personnages féminins ne sont pas à la fête dans ce film (la belle-mère se fait descendre dès qu'elle décide de prendre son destin en main), mais Indu en rajoute une couche, n'hésitant pas à se punir elle-même à chaque fois qu'elle brave l'autorité paternelle (en s'ébouillantant la main, quand même).
Le plus : des musiques super entrainantes et de belles chorés , une histoire simple mais touchante.
Et Prabhas, dans son premier rôle ? Dur de deviner qu'il débute. Il révèle quelques uns de ses principaux atouts : un certain talent de danseur, une sacré classe dans les (nombreuses) bastons, un jeu juste dans les moments d'émotion, et surtout un charme fou.
Profitons également de l'occasion pour rendre hommage au bien nommé Prabhasmyhero dont les différents comptes sont incontournables pour les fans de l'acteur.
Tout a commencé avec Eeshwar, en 2002, réalisé par Jayant C. Paranjee, avec Sridevi.
Le jeune acteur, incarnant Eeshwar, n'était pourtant pas un inconnu : il est en effet le neveu d'un acteur bien connu, devenu homme politique, Krishnam Raju Uppalapati.
Eeshwar, un garçon pauvre et orphelin de mère, a le coup de foudre pour une jeune fille riche, Indu, fille d'un homme politique qui n'aime pas les pauvres. Pendant qu'il tente de l'approcher son père se remarie. Toute la première moitié est consacrée aux tentatives d'approches d'Eeshwar, la deuxième aux inévitables heurts avec le père vraiment pas sympathique d'Indu. C'est en tout cas ce que j'ai pu comprendre en l'absence de sous-titres.
Le gros défaut du film : une héroïne incarnée par une actrice pas terrible (une Sridevi qui n'a rien à voir avec La Sridevi), et parfaitement cruche. Les personnages féminins ne sont pas à la fête dans ce film (la belle-mère se fait descendre dès qu'elle décide de prendre son destin en main), mais Indu en rajoute une couche, n'hésitant pas à se punir elle-même à chaque fois qu'elle brave l'autorité paternelle (en s'ébouillantant la main, quand même).
Le plus : des musiques super entrainantes et de belles chorés , une histoire simple mais touchante.
Et Prabhas, dans son premier rôle ? Dur de deviner qu'il débute. Il révèle quelques uns de ses principaux atouts : un certain talent de danseur, une sacré classe dans les (nombreuses) bastons, un jeu juste dans les moments d'émotion, et surtout un charme fou.
Preuve n° 1 que Prabhas est un gars parfait : dans les dappa, il assure grave.
(à partir de 7 min 29)
2003 :- Raghavendra, réalisé par Suresh Krishna, avec Swetha Agarwal et Anshu.
Deuxième film et première catastrophe.
Raghavendra est un swami qui vit dans un ashram. Il attire les regards de Mahalakshmi, qui s’est bien rendu compte que ce swami n’était pas comme les autres : non seulement il fait face sans trembler à un éléphant déchaîné, mais en plus il est joué par Prabhas, à qui les habits minimalistes de saint homme (un lunghi et euh… c’est à peu près tout) vont très bien. Pourtant, celui-ci n’intervient pas quand elle se fait agresser. Au lieu d’aller l’aider, Raghavendra est assailli par des images traumatisantes, qu’un flashback va bien sûr nous expliquer. Autre fois, il était une véritable brute qui aurait dû suivre une thérapie pour apprendre à contrôler sa colère un courageux jeune homme qui ne tolérait pas la moindre injustice, au risque de mettre la vie de ses proches en danger. Jusqu'à ce qu'un jour...
Scénario parfaitement crétin (la non-violence ça va deux minutes, m'enfin quand même, faut bien que quelqu'un aille casser la gueule aux méchants à la fin), scènes d'agression filmées avec une complaisance très désagréable, chorés moches et molles, musique du même niveau, et un Prabhas à qui le lunghi va certes très très bien, mais qui n'arrive pas à faire grand chose de son personnage. Et pas de sous-titres, pour tout arranger.
Preuve n° 2 que Prabhas est un gars parfait : il a la classe en lunghi.
2004 - Varsham, de Sobham, avec Trisha, Gopichand, Prakash Raj.
Premier succès commercial, bien mérité pour ce bon film. Varsham, c'est la pluie, celle qui ne cesse de réunir Prabhas et Sailaja, malgré l'opposition de l'horrible père de la belle, joué par un Prakash Raj toujours aussi réjouissant, et surtout malgré l'infâme zamindar joué par Gopichand (acteur qui est un des meilleurs amis de Prabhas). Superbe musique, clips très sympa, Trisha presque jamais énervante, pas trop de violence, et une jolie histoire d'amour qui sonne juste.
Scénario parfaitement crétin (la non-violence ça va deux minutes, m'enfin quand même, faut bien que quelqu'un aille casser la gueule aux méchants à la fin), scènes d'agression filmées avec une complaisance très désagréable, chorés moches et molles, musique du même niveau, et un Prabhas à qui le lunghi va certes très très bien, mais qui n'arrive pas à faire grand chose de son personnage. Et pas de sous-titres, pour tout arranger.
Preuve n° 2 que Prabhas est un gars parfait : il a la classe en lunghi.
2004 - Varsham, de Sobham, avec Trisha, Gopichand, Prakash Raj.
Premier succès commercial, bien mérité pour ce bon film. Varsham, c'est la pluie, celle qui ne cesse de réunir Prabhas et Sailaja, malgré l'opposition de l'horrible père de la belle, joué par un Prakash Raj toujours aussi réjouissant, et surtout malgré l'infâme zamindar joué par Gopichand (acteur qui est un des meilleurs amis de Prabhas). Superbe musique, clips très sympa, Trisha presque jamais énervante, pas trop de violence, et une jolie histoire d'amour qui sonne juste.
2004 - Adavi Ramudu, de K. Raghavendra Rao, avec un éléphant.
pas vu.
2005 - Chakram, de Krishna Vamsi, avec Charmee, Asin
Pas vu non plus, mais j'aime bien cette chanson :
2005, Chatrapathi, de S.S. Rajamouli, avec Shriya.
Réfugié du Sri Lanka, Sivaji est séparé de sa mère et de son frère. Devenu adulte, il est forcé de travaillé pour la mafia qui exploite les réfugiés. Jusqu'au jour ou il devient "Chathapathi" et libère les réfugiés tamouls de l'oppresseur, affrontant des ennemis de plus en plus cruels, parmi lesquels se trouve son propre frère, légèrement dérangé. Ce qui lui laisse quand même le temps de partir à la recherche de sa maman, et de se laisser conquérir par Shriya, dont le personnage est loin d'être uniquement décoratif, et qui est en plus assez douée pour la comédie, domaine dans lequel notre héros se débrouille également fort bien.
La musique (y compris la musique de fond ) est vraiment bien, les clips assez délirants, bref que du bonheur.
L'item number de Arti Agarwal :
La musique (y compris la musique de fond ) est vraiment bien, les clips assez délirants, bref que du bonheur.
L'item number de Arti Agarwal :
et la preuve n° 3 que Prabhas est un gars parfait : en cas d'attaque de requin, on est en sécurité avec Prabhas
ainsi que la preuve n° 4 :
La suite bientôt...
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